Buster David 08/01
Ce que j'écris et efface ne s'efface que là. Rien n'est faux. Ca n'est simplement pas la place, ou inutile, faute d'aboutir.
Mais on est le 08 janvier. Beaucoup de mes réflexions répètent, autrement. Comment me contredirais-je ?
Parfois rien qu’avec un « peut-être », on survit. « Peut-être un jour ».
David Bowie était ce jeune homme pressé qui a été tant retardé.
Lorsque j'ai rencontré ce monde Bowie, j'ai découvert ce qu'était son inventivité : une perceuse dans le bloc de béton de toute la saleté du monde que j'habitais en journée encore enfant, obligée de coexister malgré mes efforts avec des cloportes vulgaires d'arrivisme et de méchanceté.
Je pouvais respirer quelque part avant de rentrer chez moi et l'écouter une
fois au-dessus de ces beaux cercles noirs où courraient ces sillons.
Cela ne mourra jamais en moi.
Merci encore cette année, Monsieur Jones d'avoir inventé David Bowie.
Que l'Au-delà prenne soin de vous.
Je n'ai toujours pas vu la ressemblance, mais je comprends sans l'avoir cherché, cet amour qu'il avait pour Buster Keaton (il était temps, depuis que je connais la vidéo de ''Station to Station'' !)
En symbole, cette fusion que j'avais fait des 2 il y a environ 2 ans que je viens de légèrement retoucher:
Intermédiaire :
AND Buster/David !
Si c'est signé 3 fois c'est, j'imagine qu'on le comprend, parce que j'ai déjà publié ces images, l'une après l'autre sur un réseau, c'est vraiment tout.
C. !
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